ATTENTION ! Ci-dessus la belle et ancienne maison du centre de Voglans (en face de la bibliothèque) que la majorité municipale et son promoteur NEOSENS( une poupée russe de sociétés immobilières et autres...) veulent démolir pour construire une affreuse barre urbaine à toit plat qui n'a rien à faire sur la place de l'église, au centre de notre village ! Mais pour combien de temps encore de style savoyard, si vous ne faites rien pour le sauver...?
Marcel GIRARDIN
« La Société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration » . « Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée ».
Les démocraties, stables, prospères et fortes comme celles du nord de l'Europe, sont aussi les mieux gérées car la corruption et le clientélisme y sont fermement combattus ! Lire aussi, en bas de ce déroulé, le courrier d'un lecteur intitulé " une respectabilité usurpée " dans le Dauphiné-Libéré du 9 février 2017 ! Tout y est dit ou presque... !
Le Bulletin voglanais a pour vocation de vous fournir l'information officielle et publique que les moyens de communication de la commune ( Lettre de Voglans et Bulletin municipal annuel ) vous cachent délibérément.
Ce site sert aussi à compenser la censure exercée par la presse locale et le parti-pris des correspondants locaux du Dauphiné-Libéré et de l'Essor savoyard, qui participent à cette dissimulation de la vérité en ne présentant quasiment jamais à leurs lecteurs les dossiers d'intérêt général que je travaille et que je vous présente en matière de finances publiques, d'urbanisation exagérée et irresponsable, d'aménagement du territoire à coup de bétonnage et de goudronnage, d'environnement et de relations avec la CALB.
Par contre ces correspondants de presse savent bien, et très régulièrement, se mettre au service du maire et de sa majorité municipale pour vanter même l'actualité la plus insignifiante, pourvu que le maire et les membres de sa majorité soient sur la photo...!
Seules deux ou trois très anciennes exceptions à mettre au crédit du Dauphiné-Libéré dont le dossier du projet OPAC de la Savoie sur la mine de Voglans ( voir son article dans le dossier la mine de Voglans). Le journaliste qui avait réalisé cet article très complet n'est d'ailleurs pas resté très longtemps à l'agence d'Aix les Bains du Dauphiné-Libéré...!!!
Ce travail des dossiers communaux nécessite un suivi constant et une forte ténacité dans la recherche et la rédaction.
Ce travail, je le fais par amour pour mon village natal et par fidélité envers les électeurs qui m'ont accordé leur confiance, en votant pour moi et pour les membres de ma liste aux deux élections de 2008 et ensuite à celle de 2014.
Ce travail, je le fais aussi par souci de montrer à ceux qui n'ont pas voté pour moi qu'il ne fallait pas croire, les yeux fermés, ce qu'on leur a faussement dit sur mon compte alors que les vraies incompétences et les tristes malhonnêtés sont là où nous l'avions dit !
Les pièces officielles présentées sont toutes libres d'accès et publiques. Cette liberté d'accès est possible grâce aux articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen, intégrée au préambule de la Constitution française de 1958, telle que l'a voulue Charles de Gaulle.
Ces articles précisent :
« La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration » (article 15 ). « Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée » (article 14 du même texte).
Marcel GIRARDIN
Conseiller municipal de Voglans
En cliquant sur la photographie ci-dessous, vous pourrez lire un texte d'un lecteur d'une édition du Dauphiné-Libéré de 2017, présentant de manière assez complète et juste, l'état préoccupant de corruption dans lequel se trouve aujourd'hui plongée la France, par la faute, notamment, des petites mafias locales.